Sur la route avec les véganes gourmands
Restaurateurs: Simon, Gabrielle, Minh et Milène
Date de diffusion: 15 novembre
Heure de diffusion: 14h
Synopsis de la présentation
À la croisée des saveurs du Québec, en passant du salé au sucré, nous vous invitons à plonger au cœur de la cuisine végane, audacieuse et savoureuse, un fameux mélange qui interroge ses convives sur leur identité, leurs valeurs, leur histoire gastronomique.
Plus qu’une simple assiette végétale, n’attendez plus pour découvrir la cuisine végane qui nous propose avec facilité une grande variété de mets, en voyageant de Mont Tremblant au sein de la réconfortante Cabane à tuque, et passant par Trois rivières pour découvrir un endroit branché comme Café Frida, avant de retrouver un restaurant fleuri et coloré comme Ohana Sushi Vegan à Montréal, puis finir avec les délicieux desserts de Sophie Sucrée.
Sophie Sucrée
Depuis sa décision de lancer la boutique Sophie Sucrée, Milène Laoun (fondatrice) cherche à perfectionner recettes et techniques de pâtisserie végane gardant toujours goût et qualité à l’avant plan.
Avec l’aide d’une équipe du tonnerre, les labos de Sophie Sucrée ont revisité les classiques du monde sucré (et un peu salé) pour les réinventer en versions entièrement végétaliennes.
En 2013, la pâtisserie végane Sophie Sucrée a ouvert ses portes et continue depuis ce jour de prendre plaisir à fournir des options de pâtisseries véganes à tous les intéressés à travers Montréal.
Ohana
Minh travaille avec son conjoint dans le domaine de la restauration de sushi depuis un peu plus de 20 ans.
Avec ces nombreux années dans le domaine du sushi, elle a toujours voulu inventer et développer cette cuisine vers une cuisine végétarienne. Avec les nombreuses recherches, elle a décidé de convertir son menu en sushis végane en incluant plus de nouveautés.
Alors Ohana existe de cette idée là!
Ohana sushi a pour mission de vous permettre une halte dans votre journée bien occupée. Pour ce faire, ils ont réinventé le sushi végan tout simplement dans l’art du bien vivre et de manger une nourriture tout aussi délicieuse que santé. Ainsi, ils savent vous combler grâce à toute la passion de leur travail que ce soit à leur comptoir ou par livraison rapide.
Café Frida
Gabrielle est co-propriétaire du Café Frida, du Dep Frida, et co-autrice de Comptoir Vegan. Elle a ouvert le Café en 2015 et procédé à la transition de celui-ci vers un menu 100% vegane par soucis de cohérence et de transparence.
L’impact écologique de l’industrie des produits animal est désastreuse sur notre planète en plus de tous les enjeux éthiques autant au point de vue humain qu’animal.
Il lui etait impossible de continuer d’encourager un tel modèle d’exploitation autant personnellement que professionnellement. Elle est heureuse de voir que les sceptiques furent convaincus!
Cabane a Tuque
Simon Meloche Goulet est l’instigateur de la Cabane à tuque ou, autrement dit, l’agriculteur maraîcher, le cuisinier, le cueilleur de plantes sauvages, l’acériculteur, le constructeur, le téléphoniste, l’agent de marketing, le plongeur et le papa à la maison (ou plutôt le papa au champ) qui fait que toutes les facettes de ce gros projet s’articulent pour accueillir de belle tablée au temps des sucres.
Il est végétarien depuis qu’il a 16 ans. Enfant, il était asthmatique et souvent malade et lorsqu’il a décidé d’arrêter de manger de la viande, il a commencé à se sentir plus en forme. Depuis, il ne fait que rarement de l’asthme. Il en a alors conclu que son corps n’est simplement pas fait pour consommer de la viande, et comme il ne mange pas de viande, ça n’avait aucun sens pour lui d’en servir dans son restaurant. Sa cabane à sucre est maintenant complètement végétalienne avec des repas tout simplement délicieux.
C’est la diète des 100 milles de Smith et MacKinnon qui lui a donné envie de devenir non seulement « locavore », mais aussi agriculteur maraîcher. Depuis maintenant plus de 10 ans, il ne va plus à l’épicerie que pour le sac de chips mensuel. Il a changé sa façon de s’approvisionner en aliments : ce qu’il ne peut pas produire lui-même, il se le procure autant que possible directement chez des producteurs régionaux.
Il essai également de toujours limiter son empreinte écologique, tout en demeurant pragmatique. Il n’a jamais eu de voiture et a toujours préféré se déplacer en vélo ou à pied. Il se considère privilégié de pouvoir s’offrir le luxe de ne pas posséder de voiture! À force de se déplacer par ses propres moyens, il s’est maintenu en forme et aujourd’hui, malgré ses fragilités mentionnées plus haut, il accomplit des Ironman et des ultra marathons sans avoir besoin de s’entrainer!